Triste, Neocor s'en va

Madame la Rectrice,

Je suis sur le départ, rejoindre un évêché où regne une certaine sérénité.

Mon désir profond était de mourir à Chambery ! Aristote l'aura voulu autrement...

Je porte sur moi une immense tristesse, et je veux vous assurer de toute ma reconnaissance...

Avant d'éditer le Planning de la semaine, pensez que le Père Neocor n'enseignera plus en Savoie.

je vous laisse le soin, si vous le désirez, de transmettre mes plus grandes amitiés Aristotéliciennes à tous les professeurs et à tous les élèves... Quant à vous, je vous souhaite bonne réussite dans vos entreprises et vous renouvelle ma grande affection.

Neocor.

bon vent à vous mon ami, qu'Aristote vous guide en des cieux meilleurs pour vous......

Mon cher ami Neocor,

nons seulement, vous allez nous manquer mais en plus vous me laisser seul pour enseigner des matières importantes de la théologie.

Ne pouvez-vous revoir votre position et restez parmis-nous ?

Mon cher ami Riclebon,

Je pense que nous étions fait pour nous entendre... Je pars à regrêt car c'est la seule issue pour moi... Un autre viendra probablement pour vous aider à enseigner !

Il m'est impossible de retrouver une Cure en Savoie, d'ailleurs personne ne me l'a proposé. Je m'en vais rejoindre un grand bonhomme d'Archevêque qui saura m'inculquer d'autres bonnes idées de l'Aristotélicisme... Et je reviendrai mourir en Savoie... Promis !

Amitiés,
Neocor.

Et bien si tel est votre choix, cher ami, je vous souhaite la bonne route et sachez que là ou vous alliez, si vous avez besoin de moi, je serais là.

Amicalement.